En 2000, lors d'une campagne électorale, Frédéric Boccaletti s'est retrouvé impliqué dans un incident violent. Alors qu'il collait des affiches portant le slogan « Immigration, drogue, insécurité, stop ! », il a été confronté à des jeunes qui l'ont traité de « facho ». En réponse, Boccaletti a fait ouvrir le feu sur le groupe après les avoir traités de « sales nègres ». Le tribunal correctionnel de Toulon a condamné Boccaletti à un an de prison dont six mois ferme pour « violence en réunion avec arme » , bien qu'il ait été libéré après quatre mois pour raisons médicales.
Marine Le Pen, ayant pris la direction du Front National (devenu le Rassemblement National) en 2011, a fait de Boccaletti l'un de ses hommes de confiance en région PACA, malgré ses antécédents judiciaires.